7 février
On a de nouveau très bien dormi, c’est dimanche et c’est plus calme dehors. On se met au travail après un bon petit déjeuner, aujourd’hui c’est un peu plus facile de se mettre au travail, même s’il y a encore un peu de mauvaise volonté !
Papa est allé téléphoner, au Mac Do, et voir s’il trouve de la Biafine, parce que contre toute attente c’est lui pour une fois qui a pris un coup de soleil ! Bon un tout petit peu Camille aussi, mais pas maman, c’est louche !
Cet après-midi, on va faire la Table Mountain, la montagne en forme de table de la cité mère, et on mangera peut être dehors.
Après une bonne matinée de travail, nous partons visiter la cité mère, il y a un vent de fou ! Oon s’en doutait, le téléphérique pour monter à la « Table Moutain », la montagne plate, est fermé et nous ne pouvons pas voir le sommet de cette table ! Les guides qui nous renseignent ne nous comprennent pas, sauf un, c’est bien là qu’on voit que les 11 langues officielles et notre super anglais sont parfois un peu un frein à la communication. C’est pas grave, on a réussi à comprendre l’essentiel.
On reprend donc vers le centre ville pour se promener. Bon, on n’est pas à l’aise partout, il y a des gens qui font la manche et parfois c’est assez insupportable… On s’est promené dans le Compagny’s Garden du centre, jardin magnifique où des essences de plantes incroyables se succèdent (Manon court pour ramasser les fleurs par terre, trop contente d’avoir trouvé des fleurs de monoï semble-t-il), et comble de joie des petits écureuils venaient vers nous pour renifler nos doigts !
Au bout il y a le South African Museum, grand musée, avec des squelettes de baleines et autres, des dinosaures, bref Camille et Manon se régalent !
En sortant on se décide ( maman angoisse déjà qu’on se fasse voler, elle se colle l’iphone 6 presque dans la culotte) à aller au marché, mais il est 17h et tout est déjà replié… on avait encore oublié que tout fermait très tôt. Du coup sur le retour, on s’arrête dans un magasin « Tout pour la femme africaine ». Sauf qu’on comprend plus tard que dedans c’est en fait plusieurs vendeurs, qui se tirent la bourre pour vendre leurs objets… On trouve quand même notre bonheur, 2 paréos pour les filles, un instrument africain pour Camille, que maman négocie durement : 100 rands au départ, 100 rands au final, bravo maman !